Dernières actualités avec #Luis Enrique


Le Figaro
14-07-2025
- Sport
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Chelsea-PSG : «Une situation parfaitement évitable», Luis Enrique regrette son geste d'humeur
Le coach parisien a livré son sentiment après la défaite face à Chelsea (0-3), dimanche, en finale du Mondial des clubs. Chelsea «a très bien joué et a mérité le trophée» de la Coupe du monde des clubs, a réagi l'entraîneur du PSG Luis Enrique , dimanche, après la défaite 3-0 contre les Londoniens en finale au stade MetLife, près de New York. «C'est comme ça le foot, tu ne peux pas tout expliquer, on doit revoir le match pour analyser parfaitement ce qu'il s'est passé», a dit Luis Enrique en conférence de presse. Les Blues «ont très bien commencé le match avec un pressing haut qui nous a mis en difficulté, puis on a eu deux occasions» manquées tandis que Chelsea a su «marquer deux buts», a raconté l'Espagnol. «Je pense que pendant tout le match ils ont très bien joué, ils ont mérité la victoire et le trophée», a-t-il ajouté. «Ils ont été meilleurs que nous». À lire aussi Chelsea-PSG : «Ça n'enlève rien à cette saison de fou», positive Marquinhos Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention. Luis Enrique Publicité Interrogé sur les bousculades entre les deux équipes à la fin du match, et notamment son propre geste d'humeur contre Joao Pedro, Luis Enrique a répondu: «Je pense qu'à la fin du match, il y a une situation parfaitement évitable de tout le monde. Mon intention, comme toujours, a été de tenter de séparer les joueurs pour que ça ne dégénère pas». Il a ajouté: «C'est vraiment évitable, il y a beaucoup de pression. Il y a eu des choses problématiques venant de beaucoup de gens. (...) Ce n'est pas la meilleure manière d'attirer l'attention». Questionné sur ce nouveau format de Coupe du monde des clubs, Luis Enrique a estimé: «C'est un format intéressant, ça peut devenir un tournoi de très haut niveau. Ça m'a plu, on aurait bien joué un peu mieux la finale, on n'a pas gagné mais c'est comme ça».


Le Parisien
13-07-2025
- Sport
- Le Parisien
Chelsea-PSG : un nouveau jour de gloire attend Paris, meilleure équipe de la planète
Le monde leur appartient. Enfin, pas tout à fait, pas encore, pas au palmarès, mais dans les faits, oui. À l'issue d'un tournoi grandiose où le PSG aura réussi à déployer tout ce qu'il possédait de merveilleux en encore plus beau, le voilà en finale face à Chelsea ce dimanche pour soulever son cinquième trophée de la saison, un record. Au passage, il aura également donné un immense intérêt à cette compétition de trop. Cette Coupe du monde des clubs jurait dans le décor alors l'équipe parisienne a décidé d'offrir un condensé de son art, élaguant ses ultimes scories ― une manière de défendre parfois erratique ; un seul but encaissé jusqu'à présent aux États-Unis ― afin d'étaler le plus beau spectacle collectif depuis dix ans et la victoire de Barcelone en finale de la Ligue des champions 2015. L'entraîneur s'appelait alors Luis Enrique, dans le gotha des GOAT du jeu.


Le Parisien
11-07-2025
- Sport
- Le Parisien
« Dembélé presse comme s'il était le meilleur défenseur du monde » : l'hommage d'un ancien du Real à la star du PSG
Il y a évidemment ses 35 buts, ses 13 passes décisives et son poids offensif dans les victoires du PSG. Mais Ousmane Dembélé , encore décisif contre le Real Madrid (4-0) en demi-finale de la Coupe du monde des clubs mercredi, ne s'illustre pas uniquement ballon au pied cette saison. L'attaquant parisien, candidat au Ballon d'or , se distingue aussi dans son activité défensive, et en particulier son pressing sur les joueurs et gardiens adverses. Un investissement remarqué par une ancienne gloire du club madrilène (1999-2009), Michel Salgado. « Dembélé presse comme s'il était le meilleur défenseur du monde, souffle l'ex-latéral droit espagnol dans une interview accordée au journal As vendredi. Convaincre un joueur comme Dembélé de faire cela, c'est ce qui distingue vraiment un bon entraîneur. C'est clair. Transformer les joueurs les plus difficiles d'une mentalité individuelle à une mentalité au service du collectif. » Pour Michel Salgado, la métamorphose d'Ousmane Dembélé est l'un des symboles de l'application de la philosophie de l'entraîneur du PSG, Luis Enrique . « Ce qu'il a fait est spectaculaire, souligne-t-il. Tout le monde parlait de Mbappé quand il est parti, et il a su gérer le changement sans jamais le critiquer. Ils se sont adaptés à une autre façon de jouer, à un autre style, davantage collectif, en privilégiant toujours l'équipe au-dessus de l'individualité. Cela pousse tout le monde à se donner à fond, non seulement en attaque, mais aussi en défense. C'est un entraîneur qui motive énormément ses joueurs. Tout le monde applique un pressing intense. » L'ancien partenaire de Zidane et Figo n'est pas le seul à avoir noté cette implication du champion du monde 2018. « Je lui ai dit après le match qu'il pressait beaucoup et il m'a dit que c'est ce qu'il devait faire, a expliqué après la demi-finale le gardien du Real Madrid, Thibaut Courtois. Sur un dégagement, j'ai une demi-seconde pour réfléchir à l'endroit où je vais taper, car ils vous pressent. » Un autre gardien a également été victime de cette débauche d'énergie d'Ousmane Dembélé. Yann Sommer, le portier de l'Inter Milan, avait été gêné par l'activité du Français lors de la finale de Ligue des champions remportée (5-0) par le PSG .